En juillet 2007, M. Bărbulescu[1], citoyen roumain, a été licencié pour avoir utilisé à titre privé la messagerie de l’entreprise. Ce dernier avait alors saisi la justice roumaine afin de contester ce licenciement, invoquant le motif suivant : l’employeur a violé son droit à la vie privée en accédant au
Cour européenne des Droits de l’Homme : sur le lieu de travail, l’employeur n’a pas tous les droits
L’AEDH ne peut que se réjouir de l’arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme rendu le 5 septembre 2017 dans l’affaire Bărbulescu c. Roumanie qui encadre les conditions dans lesquelles un employeur peut surveiller les correspondances d’un salarié sur le lieu de travail.
En Juillet 2007, M. Bărbulescu, citoyen