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La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a jugé que les tests psychologiques d’orientation sexuelle dans les procédures d’asile interféraient avec le droit à la vie privée des requérants et ne pouvaient donc pas être pris en considération dans une procédure d’asile. Le Comité Helsinki hongrois a plaidé contre ces méthodes, systématiquement utilisées par l’autorité hongroise en matière d’asile, arguant qu’elles sont dépassées, scientifiquement discutables et fondées sur des stéréotypes homophobes.